Célèbre pour les vins qui ont pris son nom, Porto qui se targue d’être une ville plus ancienne que Lisbonne, la capitale du Portugal, a quelques difficultés à redorer son blason en période de crise avec une multitude d’immeubles criant à l’abandon. Malgré, ces atteintes au patrimoine qui donnent à certaines rues un air de désolation, Porto reste une ville attachante. Je conserverai de mon séjour le souvenir du cri permanent des mouettes et des cloches des églises égrainant régulièrement leurs coups pour marquer les heures.
Si on se contente de se promener sur les quelques centaines de mètres des quais qui font face aux chais des grandes maisons de Porto de Vila Nova de Gaia, sur l’autre rive du Douro, Porto conserve un air pimpant. Les maisons de la Ribeira construites au-dessus du niveau d’anciennes murailles font claquer leurs couleurs sous le soleil. Des cafés ont été aménagés sur les quais où se concentrent les touristes.

Enfilade de bateaux traditionnels devant les caves de Porto à Gaia.
Photo City Breaks AAA+, Claude Mandraut.
La vue sur le Douro et sur l’enfilade des ponts qui l’enjambent est superbe. Le pont Dom Luis I, le plus proche de la Ribeira est lui-même une curiosité avec ses deux niveaux : celui du bas est juste au-dessus du fleuve, celui du haut relie deux collines. Car Porto est une ville où on est cesse amené à monter et à descendre d’un quartier à l’autre.
Que l’on pousse plus loin sur les quais en allant vers l’Atlantique ou qu’on s’enfonce dans la ville, à l’arrière, le spectacle et la situation se détériorent même si Porto réserve de jolies surprises. Je ne reprocherais pas à Porto de ne pas s’être transformé en grand réservoir à touristes. Mais entre conserver son authenticité et tout laisser en friches, il y a un grand pas, comme je le montrerai dans un autre reportage.
Les incontournables de Porto
Les quais de la Ribeira bien évidemment sont un des principaux lieux d’attraction de Porto. A l’arrière, juste avant l’entrée du tunnel qui ramène vers la ville haute la fresque contemporaine d’azulejos, Ribeira Negra, créée en 1984 par Julio Resende.
L’avenue dos Aliados et la place da Liberdad constituent le cœur de la ville avec à l’une des extrémités, le palais das Cardosas occupé désormais par l’hôtel Intercontinental et à l’autre la Camara municipal do Porto.
C’est aussi un lieu d’élection pour les banques qui y ont construit des immeubles devant refléter leur opulence.

Bâtiment Art déco d’une des banque le long de l’avenue dos Aliados à Porto.
Photo City Breaks AAA+, Claude Mandraut.
La gare Sao Bento pourrait sembler assez banale de l’extérieur.
Mais le hall de ce robuste bâtiment du XX ème siècle est entièrement couvert d’azulejos retraçant les épopées du Portugal.

Motif de locomotive en céramique à la gare Sao Bento à Porto.
Photo City Breaks AAA+, Claude Mandraut.

Le roi dans toute sa majesté à la gare de Sao Bento à Porto.
Photo City Breaks AAA+, Claude Mandraut.

Tableaux colorés en partie haute de la gare de Sao Bento à Porto.
Photo City Breaks AAA+, Claude Mandraut.
Les compositions en bleu et blanc sont magnifiques et surmontées de scènes en couleurs en partie haute.
Le Palacio da Bolsa, à côté duquel est installé l’ancien marché Ferreira Borges avec ses structures métalliques peintes en rouge, a été achevé en 1910 à l’emplacement de l’ancien couvent Saint-François.

Monument à la gloire du prince Henri le Navigateur devant le marché Ferreira Borges à Porto.
Photo City Breaks AAA+, Claude Mandraut.
Son imposant escalier et les décors sculptés sur le granit ont fait durer le chantier 68 ans.
A voir l’ancienne corbeille de la bourse qui ne fonctionne plus et surtout la salle mauresque en stuc multicolore et vitraux.
Non loin de là en allant vers les quais, on dépasse la Casa do Infante, une demeure ancienne, qui aurait vu naître, en 1394, Henri le Navigateur.
Le Jardin du Palais de cristal désormais mal nommé n’a plus de palais de cristal. Il a été remplacé par une demi-sphère en béton lourde et triste qui abrite des compétitions sportives.
J’avais vu qu’il existait dans le parc le musée romantique. Je me suis obstinée car le fléchage est loin d’être clair. Nous avons fini par arriver dans un jardin plein de charme, en contre-bas, protégé par des arbres touffus aux racines saillantes dans le chemin sinueux.
Et nous avons pu visiter cette belle demeure où vécut en exil Charles Albert de Savoie, roi de Sardaigne et prince du Piémont.
Le roi de Sardaigne y est d’ailleurs mort en 1849.
Le marché do Bolhao est presque entièrement désaffecté. Toutes les galeries sont vides vraisemblablement pour des raisons de sécurité puisque des structures métalliques ont été installées pour soutenir les bâtiments.

Les galeries périphériques du marché Bolhao de Porto sont désaffectées.
Photo City Breaks AAA+, Claude Mandraut.
Il reste quelques échoppes dans la cour centrale à ciel ouvert.
Les églises de Porto
Nombreuses églises à Porto, mais je retiendrai la cathédrale Sé engoncée dans d’autres bâtiments à l’arrière.
Grande esplanade devant depuis laquelle on a une belle vue sur la ville.
L’église dos Clerigos. Sa tour culmine à 75 mètres.
Etonnante configuration des églises dos Carmelitas et do Carmo qui sont accolées. Sur le côté visible de l’église do Carmo, grande composition en azulejos.
Fidèles à l’esprit portugais, l’église dos Congregados à l’intérieurement richement décoré et l’église de San Ildefonso aux deux extrémités de la rue du 31 Janeiro ont leur façade rehaussée d’azulejos.
Mais j’ai trouvé que la petite chapelle das Almas de Santa Catarina était la plus spectaculaire puisqu’elle est entièrement recouverte d’azulejos.

L’une des scènes en azulejos de l’église Santa Catarina à Porto.
Photo City Breaks AAA+, Claude Mandraut.
Porto Art nouveau Art déco
A tout seigneur tout honneur. La librairie Lello est l’adresse à visiter absolument à Porto, qu’on soit amateur d’Art nouveau ou pas.
L’entrée est payante mais remboursée au premier achat. On comprend bien les propriétaires de cette librairie mythique qui seraient dans l’impossibilité de travailler s’il n’y avait pas ce barrage symbolique.

Les étonnantes circonvolutions de l’escalier de la librairie Lello à Porto.
Photo City Breaks AAA+, Claude Mandraut.
Tout le monde fait des photos et se soucie assez peu de regarder les livres. En fait, la libraire fut fondée par un Français Ernest Chardron en 1869 et revendue suite à son décès prématuré.

Caissons très travaillés du plafond de la librairie Lello à Porto.
Photo City Breaks AAA+, Claude Mandraut.
Le célèbre bâtiment à la façade néogothique a été inauguré en grandes pompes en 1906.
Au bout de 90 ans d’existence, la librairie avait subi les outrages du temps mais elle a bénéficié d’une restauration exemplaire qui a respecté ses étonnants plafonds en stuc, ses étagères en bois travaillé et son escalier aux marches rouges qui se déploie en ondoyant telle une sculpture. Un exemple à suivre à Porto.
Tout près de la librairie Lello, les rues parallèles Candido dos Reis et Galerias Paris dessinées à l’emplacement d’un ancien couvent ont chacune une magnifique maison Art nouveau.

Ensemble de visages féminins Art nouveau sur un immeuble de la rue Carmelitas à Porto.
Photo City Breaks AAA+, Claude Mandraut.
L’une joue sur des motifs en couleurs, l’autre sur les lignes sinueuses chères à l’Art nouveau.
Côté Art déco, un beau cinéma Art déco place de Batalha est à l’abandon.
En revanche, le cinéma Coliseu inauguré en 1941 a belle allure et fait face à un parking Art déco aux beaux volumes.
Sur la place Carlos Alberto, face à l’université un magasin « de nouveautés » affiche des lignes caractéristiques de ce mouvement. Il est surmonté par un paon faisant la roue.
Je ne suis pas une habituée de Mc Donalds mais je suis passée à plusieurs reprises par celui de Porto, du 126 place de la Liberdade pour son décor Art déco.

L’ancien café Impérial et ses vitaux Art déco transformé en Mc Donald à Porto.
Photo City Breaks AAA+, Claude Mandraut.
Installé à l’emplacement de l’ancien café Impérial.

L’un des bas-reliefs ornant les murs de l’ancien café Impérial de Porto.
Photo City Breaks AAA+, Claude Mandraut.
Magnifiques vitraux habillant la paroi du fond, bas-reliefs en partie haute tout autour de la salle, lustres, volumes majestueux, tout y est somptueux !
Mes salons de thé à Porto
J’avais lu qu’il existait un établissement réputé et ancien à Porto où les dames d’un certain âge se retrouvaient autour de petits gâteaux. Le genre de lieu que j’affectionne. Il s’appelait Ateneia au 57-59 place de la Liberdade. Il m’a fallu beaucoup de ténacité pour découvrir qu’en fait elle s’appelait Arcadia. On ne voit le nom Ateneia que depuis l’intérieur sur des verres gravés au-dessus de l’entrée.
La confiteira Serrana, 52 rue Loureiro, est aussi charmante avec la peinture de son plafond et ses angelots du premier étage. Bien entendu, dans les salons de thé, le pastel de nata est inévitable. C’est tant mieux car il est délicieux.

Peinture au plafond du salon de thé Serrana, ancienne adresse de la bijouterie Machado à Porto.
Photo City Breaks AAA+, Claude Mandraut.
Mes restaurants à Porto
Le café Majestic est sans doute l’un des établissements les plus connus de la ville. Très Belle époque avec ses colonnes, ses dorures et ses verres biseautés il a été ouvert en 1921 et sa conception avait été confié à l’architecte Joao Queiroz.
Plutôt une brasserie qu’un restaurant.
Un peu cher pour ce qui est servi mais le cadre ancien a beaucoup de chic.
Le Guarany inauguré en 1933 cultive un autre style. Son nom était une référence au Brésil et aux indiens. Il était fréquenté par des intellectuels. Lors de sa restauration, des fresques évoquant l’Amazonie ont été ajoutées pour rappeler les éléments fondateurs du Guarany. Pensez à réserver car le soir les tables sont prises d’assaut.
On peut aussi y prendre un verre l’après-midi dans une ambiance beaucoup plus calme.
Antiquum Nous sommes tombés par hasard sur le restaurant Antiquum en cherchant le musée romantique. En fait, il occupe le rez-de-jardin du musée. A la buvette de la salle de sport du jardin du palais de cristal, on nous avait assuré qu’il n’y avait pas de restaurant au musée. Nous avions donc avalé quelques gâteaux pour ne pas mourir de faim. C’est pour cette raison que nous n’avons pas fait un vrai repas à Antiquum, rassasiés par ces en-cas. Administrativement indépendant du musée, le restaurant profite toutefois d’un cadre privilégié avec une grande terrasse qui surplombe le Douro.
A l’intérieur, la salle de restaurant dans de tons de vert apaisant est baignée de soleil. Le service très attentif est irréprochable. Le plateau de pains est incroyablement riche. Nous avons seulement pris une soupe à la crème de truffe, une merveille ! Je recommande vivement. Prix très corrects et parfaitement justifiés pour du haut de gamme.
Mon shopping à Porto
La grande rue commerçante de Porto est la rue Santa Catarina, une rue piétonne où viennent s’ébattre mouettes et pigeons.

Les mouettes disputent les miettes de pain aux pigeons rue Santa Catarina à Porto.
Photo City Breaks AAA+, Claude Mandraut.
Enseignes courantes et centre commercial Via Catarina, sur la rue Santa Catarina, bien pourvu en marques internationales.

Fronton Art nouveau d’une boutique d’angle de la rue Santa Catarina à Porto.
Photo City Breaks AAA+, Claude Mandraut.

Ancien magasin pour enfants de la rue Santa Catarina à Porto.
Photo City Breaks AAA+, Claude Mandraut.
Pour du plus haut de gamme, on peut se rendre au Corté Ingles, ce que je n’ai pas fait car ce grand magasin se trouve bien au-delà des chais. Il affrète d’ailleurs des navettes gratuites pour amener les clients du centre ville. Quelques enseignes sympathiques autour de la rue Carmelitas et un petit centre commercial à ciel ouvert de bon niveau dans cette zone assez protégée de Porto.
Petites boutiques typiques pour les commerces de bouche dans la rue Formosa comme a Perola do Bolhao. Très bien achalandés, ces magasins bourrés de gourmandises salées et sucrées constituent de magnifiques natures mortes.
On a en envie de tout toucher, de tout goûter. Pour des souvenirs, A Vida Portuguesa, qui existe aussi à Lisbonne, reste une bonne adresse.
Le magasin de Porto est particulièrement réussi, très beau local. Vicent, derrière sa superbe vitrine Art nouveau, 174 rue 31 de Janeiro, est plus intimiste mais propose une très belle sélection de produits locaux : nappes brodés ou plaids en laine.
Le décor intérieur a été conservé. Fernol, 156 rue Mouzinho da Silveira, un peu à l’écart des grands circuits a un beau choix de céramiques notamment à des prix très compétitifs. C’est l’endroit rêvé si vous voulez ramener un coq portugais ou quelques objets décoratifs pas trop tapageurs.
Mon coup de cœur à Porto
La bijouterie Machado est sans doute l’une des plus belles boutiques de la rue du 31 de Janeiro avec sa vitrine Art nouveau surmontée de deux angelots.
Malgré l’ancienneté du point de vente conçu par l’architecte Francisco Oliveira Ferreira en 1914, cette boutique n’est pas le tout premier magasin Machado puisque l’enseigne remonte à 1880. Elle a été tout d’abord été installée rue do Loureiro qui est désormais occupé par la confiteira Serrana, d’où le cadre si raffiné de ce salon de thé qui vaut doublement la visite. La bijouterie Machado qui a une autre adresse à Porto et qui est aussi présente à Lisbonne est l’adresse où il faut se rendre à Porto pour voir de beaux bijoux en filigranes, technique traditionnelle des artisans d’art du nord du Portugal. En argent, en argent doré ou en or, les filigranes sont des bijoux d’une légèreté étonnante et exigent savoir-faire et longues heures de travail.

Arrondi des ouvertures et des vitrines très Art nouveau de la bijouterie Machado à Porto.
Photo City Breaks AAA+, Claude Mandraut.
A ne pas confondre avec d’autres bijoux moins chers qui leur ressemblent de loin, coulés dans un moule, mais ne font pas illusion à l’examen. Diogo Machado, l’un des descendants des fondateurs, m’a fort aimablement reçue dans cette ravissante boutique où les bijoux sont exposés dans des vitrines Art nouveau françaises. Il m’a aussi montré au sous-sol le futur musée de la maison Machado qui doit ouvrir début 2016. Documents d’archives, bijoux créés depuis la création de Machado et outils anciens y seront exposés. Presque tout est déjà en place. A côté des filigranes, Machado propose d’autres types de bijoux sortant de ses ateliers, fournis par d’autres créateurs ou de marques internationales ainsi que des montres d’horlogers réputés dans le monde entier.
Le Porto à Porto
Impossible de faire l’impasse sur le Porto à Porto. La visite des chais de Calem, du groupe Soveginus, m’a permis d’éclaircir un certain nombre de points sur ce vin auquel on a ajouté de l’eau de vie à la fin du XVII ème siècle pour éviter qu’il ne tourne et ne se transforme en vinaigre lorsqu’il était expédié en Angleterre.
Les vignobles ne se trouvent pas à proximité immédiate de Porto mais dans la vallée du Douro à une centaine de kilomètres de la ville. Ainsi, j’ai appris que la marque Calem créée en 1859 par Antonio Alves Calem avait, au départ, une forte activité avec le Brésil. Par ailleurs, ces vins, en fonction de la longueur de leur maturation dans les fûts en chêne se partagent entre les Ruby (deux à trois ans de vieillissement), les Tawny (trois à quatre de vieillissement pour les Fine Tawny et sept ans minimum de vieillissement pour les Colheita avec des étapes intermédiaires correspondant aux Aged Tawnies et au Reserve Tawny).

Dans les chais de Calem, barriques où le Porto attend avant d’être embouteillé.
Photo City Breaks AAA+, Claude Mandraut.
Les Vintage sont réservés aux meilleurs millésimes et continuent à vieillir en bouteille car ils ne sont pas filtrés, ce sont les seuls à avoir un bouchon en liège. Les LBV ou « late bottled vintage » sont des vins de type Vintage mais légèrement moins qualitatifs et filtrés au moment de la mise en bouteille. A côté du Porto blanc qui ne représente que 30% des volumes, un Porto rosé a été lancé récemment pour tenter les nouveaux consommateurs. A boire frais seul ou en cocktail. Chez Kopke, veille affaire dont les origines remontent à 1638, et qui fait aussi partie du groupe Sogevinus, j’ai pu tester les accords entre le Porto et le chocolat choisi dans la gamme des spécialités d’Arcadia.
Mon hôtel à Porto
Pour notre séjour, j’avais choisi le Grande Hotel de Paris pour son emplacement stratégique entre l’avenue Aliados et la rue Carmelitas mais aussi parce qu’il était indiqué qu’il était le plus vieil hôtel (en fonctionnement de Porto). J’avais hésité parce que ce n’était qu’un trois étoiles et puis je m’étais lancée, encouragée par les très bons commentaires des internautes.
Evidemment, tout n’était pas parfait comme je l’explique dans l’article qui lui est consacré, mais cet hôtel fondé en 1877 a indéniablement du charme avec ses éléments de décoration conservés. J’ai apprécié les pastels de nata et la mini-bouteille de Porto en cadeaux de bienvenue. Et comme nous étions présents le 27 novembre pour son 138ème anniversaire nous avons profité d’un petit déjeuner en musique pour célébrer l’événement.
A éviter à Porto
Surtout n’écoutez pas les personnes à l’Office du tourisme de l’aéroport qui vous conseilleront de prendre le bus de ville (pour nous le 601 ou le 602) pour aller à Porto. Nous avons mis deux heures pour faire 20 km. Prenez un taxi ou demandez à votre hôtel de vous réserver une navette privée. Le prix est très modique 20 euros du centre de Porto à l’aéroport.
Pour des informations complémentaires sur Porto
Intéressant, le plan Rotas turisticas qui fait correspondre plan du métro et lieux à visiter. Informations sur le site de l’office du tourisme de Porto. Attention, certaines adresses de boutiques ne sont plus valables et vous trouverez porte close.
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Super article et superbes photos, cela me rappelle d´excellents souvenirs.
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pour le trajet Aéroport centre-ville, le métro est bon marché (2,30E) et fonctionne bien, compter une demi-heure
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Une information très utile. Peut-être un petit renseignement supplémentaire, est-ce que le centre-ville est le terminus de cette ligne Aéroport/centre-ville, sinon quelle est le nom de la station la plus centrale ?
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